Des Mots-Maux
***Que vois-tu? Que sais-tu?***
Que vois-tu lorsque tu me regardes?
Mon regard marqué.
Mes larmes tombées.
Mes cicatrices cachées.
Ma souffrance masquée.
Ma peine étouffée.
Mon cœur foudroyé.
Que vois tu?
Le sombre regard.
Et lendemain de hasard.
Postures courbées.
De ses coups assénés.
Que sais-tu?
De ses tourments assassins.
De mes levés incertains.
De mes larmes cachées.
Souffrance irradiée.
De mes angoisses.
Mes peurs qu'elle ne passe.
De ma panique submergeant.
Mes craintes envahissantes.
Qu'il se cache cicatrices.
Je ne suis qu'actrice.
De cette araignée vicieuse.
Tellement demandeuse.
Mon énergie absorbée.
Et regard effacé.
Je n'ai qu'envie de pleurer.
Je me lève chaque matin.
Ceux ci si incertains.
Et ne cesse de me battre.
Contre cette acariâtre.
Je lutte contre cette maladie.
Elle fait parti de ma vie.
E n d o m é t r i o s e
***Alors? Que sais-tu et que vois-tu ?***DD
Je me disais.
Je me disais que la vie serait simple
Mais j'ai commencé par un aller simple
J'ai fini par ignorer le faste, subir les complications
Tout en traçant quelques sillons
Dans une vie devenue compliquée.
Je me disais que la douleur disparaîtrait
Mais avec le temps m'envahissait, s'envenimait
J'ai fini par serrer les poings, recevoir les coups assassins
Valser dans la souffrance, cela est mon destin
Et je vis un futur brouillé.
Je me disais « En grandissant »
Mais devenue femme je ne connais pas le soulagement
J'ai fini par plier les genoux
Croire que je ne tiendrais jamais debout
Et mon regard fut voilé. Je me disais « Qu'Est-ce la vie ? »
Sans un répit ni sursis
J'ai fini par comprendre que chaque choses,
Que cette vie m'impose
Finiraient par m'apporter quelques bonheurs espérés. Vivre avec une maladie infiltrée
De douleurs, de peurs, et d'incertitudes
A fini par devenir habitude
A fini par devenir mon quotidien
A fini par se sentir moins que rien
Mais subir pour mieux rêver
Garder l'espoir sans fin
Qu'un jour j'aurais la paix
S'il vous plait que cela ne soit pas en vain.
Je me disais ...que j'ai le droit de rêver
Je me disais ...que j'ai le droit d'espérer
Ne pas flancher, ne pas se rabaisser
Se relever et continuer à se battre
La tête haute à affronter
Cette maladie hostile, acariâtre .
Il est doux de rêver
Il est tendre d'espérer
Chaque petits bonheurs apportés
De Chaque jours qui passent
M'aident à patienter
Au long du temps qui passe.
Je me disais...que.
DD
Je me disais.
Je me disais que la vie serait simple
Mais j'ai commencé par un aller simple
J'ai fini par ignorer le faste, subir les complications
Tout en traçant quelques sillons
Dans une vie devenue compliquée.
Je me disais que la douleur disparaîtrait
Mais avec le temps m'envahissait, s'envenimait
J'ai fini par serrer les poings, recevoir les coups assassins
Valser dans la souffrance, cela est mon destin
Et je vis un futur brouillé.
Je me disais « En grandissant »
Mais devenue femme je ne connais pas le soulagement
J'ai fini par plier les genoux
Croire que je ne tiendrais jamais debout
Et mon regard fut voilé. Je me disais « Qu'Est-ce la vie ? »
Sans un répit ni sursis
J'ai fini par comprendre que chaque choses,
Que cette vie m'impose
Finiraient par m'apporter quelques bonheurs espérés. Vivre avec une maladie infiltrée
De douleurs, de peurs, et d'incertitudes
A fini par devenir habitude
A fini par devenir mon quotidien
A fini par se sentir moins que rien
Mais subir pour mieux rêver
Garder l'espoir sans fin
Qu'un jour j'aurais la paix
S'il vous plait que cela ne soit pas en vain.
Je me disais ...que j'ai le droit de rêver
Je me disais ...que j'ai le droit d'espérer
Ne pas flancher, ne pas se rabaisser
Se relever et continuer à se battre
La tête haute à affronter
Cette maladie hostile, acariâtre .
Il est doux de rêver
Il est tendre d'espérer
Chaque petits bonheurs apportés
De Chaque jours qui passent
M'aident à patienter
Au long du temps qui passe.
Je me disais...que.
DD